Lundi, deux journalistes israéliens bien connus : Gideon Levy et Alex Levak ont été arrêtés après un conflit avec des soldats d’un poste de contrôle à la sortie de la ville palestinienne de Tulkarem.
Maariv rapporte que les journalistes ont été arrêtés pour une visite dans la «Zone A» sans l’approbation préalable de l’armée israélienne. Selon Wallanews, le motif de l’arrestation fait suite à une plainte de soldats à la police: Levy et Livak, selon les victimes, ont maudit les soldats, après avoir craché sur eux ».
Les détenus ont été emmenés au poste de police à Ariel. Selon Nana10, ils sont accusés d’avoir insulté l’armée et de plus se sont rendus dans les territoires palestiniens sans l’autorisation de l’armée israélienne, bien qu’il est bien signifié à chaque entrée de ces villages palestiniens que « que visiter la zone A sans l’autorisation de Tsahal est une violation, et les personnes seront poursuivies ». Tsahal a décidé cela suite aux attaques de Juifs dans les territoires palestiniens, afin de les protéger.
Alex Levac
Le site « Haaretz » ne s’est pas exprimé jusqu’à l’arrestation de leurs deux journalistes. Notez que l’arrestation a eu lieu peu de temps après que la Cour d’instance de Jérusalem ait déclaré une interdiction illégale et discriminatoire des visites sur le territoire en « Zone A » sous le contrôle total de l’Autorité palestinienne.
Après l’interrogatoire, la police a publié les noms des journalistes Alex Levac et Gideon Levy. Haim Levinson a informé les lecteurs de « Haaretz » que Levy et Levak ont nié catégoriquement avoir » craché sur les soldats », et pendant leur interrogatoire, cette accusation n’aurait pas été mentionnée.
« Haaretz » a demandé au service de presse de Tsahal de transférer la vidéo de l’éditeur et de faire des captures par les caméras de sécurité. Dans une déclaration, le journal a indiqué que « l’armée et la police sont tenus d’aider les journalistes dans leur travail important, et non de leur nuire, et certainement pas de les arrêter au cours de leurs fonctions officielles. »
Le site ne mentionne pas que les journalistes de Haaretz manquent souvent d’objectivité dans ce conflit et ont tendance à souvent condamner la politique israélienne et Tsahal, victimisant abusivement les palestiniens, un des journalistes a reçu dans le passé des informations secrètes de Tsahal qui n’avaient pas été autorisées à la publication.
Le mal se déchaîne, soubressauts avant sa mise à mort de facto par l’arrivée de Mashiah.